samedi 30 avril 2011

Rencontre avec l'artiste - Tomoaki Suzuki (par Susan Qu)

C'est mon 2e jour à Florence. J'ai beaucoup de chance de trouver l'art contemporain dans cette vielle ville. À cause une queue énorme, je n'ai pas attendu pour la Galerie Academia pour voir David. J'ai continué de marcher jusqu'au Musée Marino Marini. Franchement, je ne me suis pas intéressé beaucoup à la collection de Marino Marini. Mais j'ai découvert une autre exposition dans sa étape finale de préparation.  
J'ai entendu quelque voix qui vient du soul-sol du musée. Je suis descendue l'escalier, même si c'était interdit. À mon surprise, j'ai vu les sculptures minuscules, se lèvent sur la par terre. Chaque figure est différente des autres. Chaque figure ressemble les jeunes gens ordinaires qu'on voit dans la rue. Chaque figure se lève loin des autres. Ils forment un contraste géant avec l'espace du musée et avec nous-mêmes. 

J'ai dit que j'ai eu beaucoup de change au début car j'avais la chance de parler avec l'artiste de cette expo, Tomoake Suzuki. Dans notre conversation, je lui ai exprimé mon sentiment après voir l'exposition.
"Je me sent les caractères, les petits sculptures. Parce que ils nous miment. Ils ne sont pas David ou les autres statues du Renaissance que je ne peut pas faire le lien avec. Ils nous représentent. Les petits sculptures habitent dans les villes urbaines et peuplés. Mais dans le mêmes temps, ils se sentent distant des autres. Et ils se sentent tout seule parfois."


"Oui." Tomoaki m'a répondu, "C'est clair qu'ils représentent notre génération. Par exemple, la caractère devant nous, elle s'appelle Joy. Elle est une fille qui vient de Philippines et habite à Londres maintenant que je connais. Elle aime bien suivre la mode. Elle achète tout ses vêtements chez H&M. Elle a un iPhone sans son mains. Cars dans notre jour, presque tout le monde possède un iPhone et dispense énormément de temps avec le. Le iPhone est comme notre network social. Si vous n'avez pas le iPhone, vous ressemblez quelqu'un bizarre, qui n'a pas une vie normal et les amis. (Tomoaki rigole.) Et j'ai choisi cette espace pour Joy parce qu'il ressemble un dance floor, avec les lumineux et tout ça."


Puis j'ai posé la question de la taille des oeuvres. Tomoaki a dit: "Les grandes sculptures sont pour les monuments. Mais j'aime bien travailler avec les petites tailles. Où qu'on peut voir les détails des moulages. Et je les aime se lèvent sur la par terre comme ça, pour montrer les perspective."
C'est vrai qu'il y a beaucoup de détails avec chaque caractère, et avec chacune, c'est une expérience intime. Et chacune a les histoires de raconter de soi-même.


plus d'information sur Tomoaki Suzuki (http://zawiki.free.fr/wk/index.phptitle=Tomoaki_Suzuki)
Tomoaki Suzuki (鈴木 智明 Suzuki Tomoaki ) plasticien contemporain japonais, né en 1972 à Mito (préfecture d'Ibaraki) Japon. Se partage entre Londres et Tokyo
De 1992 à 1997, il étudie la sculpture au département des Beaux-Arts de la Tokyo Zokei University Il se perfectionne ensuite à Londres, de 1998 à 2000, au Goldsmiths College, Université de Londres.
Tomoaki Suzuki s'est spécialisé dans les sculptures réalistes de personnages. son originalité est double; il sculpte presque systématiquement ses figures à l'échelle 1/4, c'est à dire que ses sujets mesure entre 40 et 48 cm de hauteur. d'autre part, au lieu de poser sur des socles ou de mettre en vitrine ses petits personnages, il les installe au sol, dans de grandes pièces vides. Il pousse donc les spectateurs à se pencher ou s'agenouiller, ce qui modifie radicalement leur manière habituelle de regarder une œuvre.
Ses sculptures sont réalisées avec précision, dans du bois de citronnier ou de peuplier, soigneusement décorées à la peinture acrylique.
Principales expositions
  • 1996 Garden, Harajuku PAP Factory, Tokyo
  • 1999 Japan Centre: Art Version, 49 St Dinonis Road, Londres
  • 2000 Shadow of Glamour, One in the Other, London
  • 2001 Michael Janssen Gallery, Cologne
  • 2003 Leo Koenig Inc., New York
  • 2004 "Lucy and Simba", Corvi-Mora, Londres
  • 2008 "Friends", Galerie Corvi-Mora, Londres
  • 2008 "Legende", Centre d’ Art Contemporain, Charamande, France


Musée Marino Marini
Piazza di San Pancrazio, 1
50123 Firenze, Italie

écrit et photos par Susan Qu (10274018)
13 Avril, 2011 à Florence, Italie

Les traces de Clet à Florence et Rome (par Susan Qu)

Après le rencontre avec Clet, j'ai trouvé beaucoup d'oeuvres par lui à Florence et puis à Rome. 

à Florence

à Florence

à Florence

à Florence

à Florence

à Rome

à Rome

à Rome 

à Rome
photos par Susan Qu (10274018)
Avril, 2011

Rencontre avec l'artiste - Clet Abraham (par Susan Qu)

C'est vrai que le scène de l'art contemporain reste minimal en Florence; mais c'est pas impossible de trouver le studio qui ne fait pas des études de Renaissance. Pendant mon premier jour en florence, pour éviter les touristes, j'ai marché vers le piazza Michel Ange. J'étais vraiment frustrée parce que je ne pouvais pas trouver le toilette. Soudainement, j'ai vu un sculpture dans un magasin qui ressemble un toilette. De la curiosité, je suis allée dedans. À mon surprise, ce n'était pas un magasin traditionnel; c'était un atelier d'un artiste qui s'appelle Clet. Il a exposé ses oeuvres dans le studio qui est ouvert aux publiques.


Dans le studio, il y a beaucoup d'ouvres intéressants et drôles. Clet principalement joue avec les signes dans les rues ou les objets ordinaires. Il donne les autres ses aux objets, les fait ironiques. Par exemple, le premier toilette que j'ai vu, c'était une bouche ouverte d'une femme. Le 2e toilette, il me prends quelque seconds de comprendre; c'était un récepteur du téléphone coupé en deux, avec le papier dans un côté et le câble dans l'autre côté. En plus, il y a un écran qui est installé dans le récepteur. 


Une autre exemple classique, c'est une peinture d'un signe de sans issue. Clet a ajouté une petite personne qui en train de voler la ligne horizontal dans le signe; Donc il donne tout les possibilités. Il peint les signes dans la manière du graphisme; il aussi peint dans la manière un peu classique. Le style me rappelle d'Echer. Pour instant, Clet transforme le cafetière au Battistero. Dans les autres sculptures, on peut trouver l'influence de futurisme italien. 
Je lui ai parlé. Clet est en fait un artiste français qui s'installe en italie depuis plusieurs d'années. Je lui ai dit la manière de travail avec les signes m'a rappelé beaucoup de Banksy de Londres. Il m'a répondu: "Oui, je travaille beaucoup dans les rues aussi." 
Clet travaille avec les signes qui sont jetés. Il vent les petits tickets, t-shirts, etc. J'ai pris un aimant pour le souvenir. Quand je suis partie le studio, j'étais vraiment contente car Clef a eu un vrai toilette dans le sous-sol. 

plus d'information sur Clet (de http://fr.wikipedia.org/wiki/Clet_Abraham)
Biographie
Il réalise ses études à l'école des Beaux-Arts de Rennes puis, après avoir exposé dans différentes galeries d'art bretonnes il part s'installer à Rome où il exerce le métier de restaurateur de meubles anciens. Il expose alors dans de nombreuses galeries, romaines, parisiennes et bretonnes (Galleria Studio 99, Galerie Le Marais à Paris, Galerie Armel à Nantes) et dans différentes institutions culturelles. En 2005 il s'installe à Florence où il exerce encore actuellement. Ses œuvres connaissent un succès notable auprès de collectionneurs privés à Paris, Monte-Carlo, New York. De nombreuses entités privées, comme la Banca Popolare dell'Etruria e del Lazio, l'Istituto Tommaso Crudeli de Udine et le Castello di Poppi lui ont commissionné des œuvres de prestige. Il a participé aux trois éditions de l'exposition collective Fuori Luogo organisée par la société Chiessi e Fedi en 2008 au Palazzo Strozzi, 2009 au Teatro della Pergola - où il a obtenu le record des ventes - et en 2010 à la Galleria delle Carrozze du Palais Medici-Riccardi.

Address de l'atelier
CLET
Via Dell'Olmo, 8
50125 Firenze

écrit et photos par Susan Qu (10274018)
12 Avril, 2011 à Florence, Italie, 

lundi 25 avril 2011

Kees Van dogen, Anaïs Mathieu (2nd semestre)

Kees Van Dongen au Musée d’Art Moderne



       Cornelis Théodorus Marie van Dongen, alias Kees Van Dongen (1877-1968), est un peintre néerlandais. Il est qualifié comme l’artificier du fauvisme, souvent proche des milieux anarchistes. Personnage aux multiples facettes, Kees Van Dongen est un artiste d’avant-garde prompt à la caricature et à la dénonciation sociale, et devenu au fil des années, l’une des grandes figures mondaines de la scène parisienne des années folles.

En collaboration avec le Musée Boijmans Van Beuningen de Rotterdam, le Musée d’Art Moderne rend hommage à cet artiste fulgurant et déroutant qui a su trouver à Paris, la reconnaissance artistique dans les années 20. C’est sur cette période parisienne que l’exposition se focalise. Pas moins de 90 peintures, dessins et un ensemble de céramiques de 1895 au début des années 30 y sont répertoriés.


L’exposition « Van Dongen, fauve, anarchiste et mondain » au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris du 25 mars au 17 juillet 2011. (Le Musée d’Art Moderne est ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h. Nocturne le jeudi jusqu’à 22h)


Le titre de l’exposition évoque moins une succession de périodes qu’une superposition de postures artistiques : hollandais rebelle, prompt à la caricature et la dénonciation sociale, artiste d’avant-garde notamment du fauvisme, dans lequel il occupe une place originale et un rôle décisif quant à sa diffusion à l’étranger (Hollande, Allemagne, Russie).

Fauve « urbain », Kees Van Dongen (1877-1968) se focalise sur le corps féminin, en particulier le visage fardé jusqu’à la déformation par la lumière électrique empruntée à Degas, à Toulouse-Lautrec, devenant en quelque sorte sa griffe.

Par la couleur, Van Dongen reste l’artificier du fauvisme. Il la régénère lors de ses voyages au Maroc, en Espagne et en Egypte au début des années 10 où il réinvente l’Orient. Mais Paris reste le sujet principal de sa peinture : Montmartre ( où il y rencontre Picasso et Derain) au début du siècle, qui le séduit par sa popularité et la vie de bohème ; Montparnasse, avant et après la guerre de 1914 dont il est l’un des principaux animateurs, mettant en scène une nouvelle femme à connotation plus érotique. Et enfin, le Paris des « années folles » que Van Dongen qualifie de « période cocktail », où il se consacre exclusivement à la nouvelle élite parisienne : hommes et femmes de lettres, stars du cinéma, du théâtre, aujourd’hui oubliés. La pose est outrée, le costume et l’accessoire théâtralisés révélant le factice de ses personnalités qui n’existent qu’à travers leur rôle.


En outre cette exposition est à voir absolument car elle regroupe un très grand nombre d'oeuvres de l'artiste toutes aussi intéressantes les unes que les autres..

















Tarifs : Demi-tarif : 5€
Tarif réduit : 7€50
Plein tarif 10€

mardi 5 avril 2011

"ArtParis JustArt" par Susan Qu

ArtParis JustArt, Grand Palais, du 30 mars jusqu’au 3 avril, 2011
Vendredi soir, le 1, Avril, le Grand Palais était ouvert jusqu’a 22h pour ArtParis. C’était une art exposition contemporain totalement commercial. Il y avait les oeuvres complètement décoratifs; mais il y avait aussi beaucoup d’oeuvres uniques et intéressants. Je vais parler des artistes qui m’intéressent le plus.


Le 1er, et les plus provocants sont les oeuvres par Jean-Charles de Castelbajac, représentées par La B.A.N.K galerie. La peinture la plus répresentative et le plus gravitant est ‘La Liberté guidant le peule avec le signe Nike’. Accroché en face des autres oeuvres par lui, son message est clair. Le but de Jean-Charles de Castelbajac semble être de nous faire réfléchir sur ce qu’étaient les critères de la beauté il y a plusieurs siècles par rapport à ce qu’on connait aujourd’hui : chirurgie, régimes, etc. 

J’avais beaucoup de chance de voir les oeuvres par JCDC, considère j’ai raté son exposition ‘The Beauty of Tyranny’, le dernier octobre chez la B.A.N.K. Les peinture étaient à l’huile, en personne, le précision d’application n’était pas la. C’est à dit, en comparaison avec les ouvres par Eugène Delacroix, JCDC est un peu loin derrière de Delacroix techniquement parlant. Mais ce n’est pas le point ici. Donc, j’ai commencé de penser à Mr. Brainwash. L’artiste qui a travaillé avec Banksy. Et les deux ont fait un film qui s’appelle ‘Fait le Mur’. Pourquoi les oeuvres par JCDC m’ont rappelé des Mr. Brainwash? C’est le médium et la manière de présentation. Est-ce que  c’était nécessaire pour JCDC de faire les peinture à l’huile, quand il peut simplement les faire avec les spray peint? Car les messages seraient délivrés. Mais dans autre côté, je pense que JCDC avait raison pour faire les peinture à l'huile. Parce que les peintures qu’il a utilisé à l’arrière plan sont des ouvres classiques de l’histoire de l’art, principalement réalisées à l’huile. S’il a spray peint le logo de Nike directement sur un tirage ou poster de ‘La Liberté guidant le peuple’, le résultat vas perdre sa richesse. 

Poster Par Mr. Brainwash
C’était aussi intéressant de voir un styliste de haute-couture et des stars de faire les peintures dans sens traditionnellement. Même s’il n’est pas un styliste de convention.
Le 2e artiste, Devorah Sperber, elle est célèbre pour les oeuvres suspendues par structure et chaînes en acier, et ils sont vus par les sphères. Les jeux d’optiques sont souvent intéressant. La question ici est plutôt simple; comment elle a fait?



En fin, je pense que c’était une expérience vraiment positive. L’exposition a montré les oeuvres par les artiste du monde entier. C’étais une bonne façon de faire connaissance avec les artistes contemporains ou leurs ouvres qui ont eu les succès dans le monde de l’art. 
Par Susan Qu N'étudiant 10274018